Les Blaireaux En allemagne

Ca donne Ca...

Le texte :

LCI a écrit:

Allemagne - Le blaireau ivre perturbe la circulation

Une patrouille de police allemande, appelée pour dégager un cadavre de blaireau, a eu la désagréable surprise de découvrir l'animal non pas mort mais totalement ivre.

Tu t'es vu quand t'a bu le blaireau ? Il va peut-être falloir lancer une campagne d'information à destination des animaux trop portés sur la bouteille. Une patrouille de police allemande appelée pour dégager de la route un cadavre de blaireau, a eu la surprise de trouver animal bien vivant, mais totalement saoul. L'animal s'était gavé, on peut même dire gorgé, de cerises trop mûres.

"L'estomac de l'animal avait transformé les fruits en alcool, et le blaireau était, comme on le dit vulgairement, totalement bourré", a écrit mercredi la police de Goslar (nord-ouest) dans un communiqué. Pour parfaire le tableau, les cerises ont provoqué une diarrhée chez l'animal. Les forces de l'ordre ont dû le repousser avec un balai dans le champ à côté de la route le temps qu'il cuve. "Il n'a pas été possible immédiatement d'établir si son état avait été provoqué par des problèmes conjugaux", a conclu le communiqué.

D'après Agence

Je pense qu'il n'y a rien n'à rajouter !!!

mdrrrrrrr !! c'est cyrille, j'l'ai reconnu !!

trop fort!

en tout cas, ça peut pas être Anatole...

DINGUE!!! même dans la voix du nord ils en parlent

La raison du Blaireau Bourré est expliqué par un lecteur de Libé :

Commode a écrit:

L'étrange odyssée du blaireau bourré.

C'est, en vérité, une histoire extraordinaire qu'a vécue le pauvre blaireau trouvé sur un route de Goslar par des policiers au sens de l'humour très développé, grâce leur en soit rendue, mais dont les investigations ne leur ont pas permi de comprendre la cause véritable de l'état dans lequel ils ont trouvé le mustélidé.
Tout a commencé chez le savant Allemand Otto Von Makrup, le célèbre spécialiste capillaire, inventeur de la calculatrice à calvitie, qui fêtait dignement avec quelques amis, dont Pierce Dempsey Tabler, qui m'a tout raconté, les progrès d'une expérience en cours.
L'objet des recherches du Professeur Makrup est de contrôler les effets de l'extrait du venin de latrodecte, qui décuple les facultés humaines, mais fait pousser des cheveux dans le dos ou rend la langue fourchue.
Pour en limiter les effets secondaires, Otto a ajouté au sérum arachnéen de l'essence de glandes odoripares du blaireau de la forêt.
Otto avait en effet remarqué que, partout où le blaireau pose son derrière, autour duquel sont situées les glandes odoripares, l'herbe ne repousse pas.
Il a donc pensé à mélanger un peu du produit de ces glandes avec l'extrait de venin pour éradiquer la pousse anarchique des cheveux.
Il fallait, pour mener à bien cette intéressante expérience, attraper au moins deux blaireaux, jeunes, les apprivoiser, et arriver à leur chatouiller les glandes.
Capturer un blaireau, même pour un scientifique, ne fut pas chose aisée : Otto dut imiter parfaitement le cri du blaireau qui se réjouit devant un bon festin, pour attirer des congénères. Puis, après plusieurs nuits passées à quatre pattes dans la forêt à crier, armé d'un trident et d'un filet, il fallu, lorsqu'un premier blaireau se présenta, ne pas se laisser intimider par la féroce bête et lui jeter le filet avec précision.
Trois semaines de traque et de ruse permirent au professeur Von Makrup d'être en possession de deux jeunes, mais déjà fougueux, blaireaux.
6 mois furent nécessaires pour les amadouer, avec beaucoup de douceur, de précaution et de mets délicieux
Puis, lorsque Otto Von Makrup fut en mesure de prélever un peu du liquide des glandes du cul de blaireau, il fallu contacter les inséparables trapézistes Peter et Sloane, du cirque Miguelitto Loveless , et premiers humains à expérimenter le sérum du professeur Tabler. Les deux trapézistes firent le voyage depuis un chateau des Carpathes où se produisait le cirque.
Ils furent mis en contact avec les blaireaux, qui n'apprécièrent pas du tout ces hominidés avec des cheveux dans le dos.
Les blaireaux refusèrent de se laisser tater les glandes. Mais le Professeur Von Makrup avait un truc infaillible pour amadouer les mustélidés : une cerise au kirsch. Après une bouchée de cette friandise, car Otto veillait à ne pas leur en donner trop, les blaireaux était doux comme des agneaux.
Au bout d'un mois, les effets de l'essence de glande de blaireau se produisirent : Peter et Sloane n'avaient plus qu'un fin duvet dans le dos.
Peu de temps après, Otto invita donc Pierce Tabler à venir fêter cette victoire en compagnie de Peter et Sloane, et de toute l'équipe des assistants du chercheur Allemand.
Saucisses, bières, bretzels, choucroute, kuglopf, poisson pané, nougats et cerises au kirsch étaient posés sur une grande table dans le laboratoire d'Otto, à deux pas de la cage des blaireaux, injustement mis à l'écart.
Aucun invité ne pensa à leur donner la moindre cerise au kirsch.
A minuit, tous les convives étaient ivres, repus et partirent se coucher sur des lits de camp.
L'un des blaireaux, qui avait assisté à ces égoïstes libations, vit les hommes quitter la pièce principale.
La porte de sa cage étant mal fermée, il en sortit et se précipita, sous le regard humide de son compagnon de captivité qu'il abandonna sans remords, vers la grande table à ripailles.
Elle n'était pas trop haute, et le blaireau put y grimper.
Il ne restait plus grand chose, sauf de l'essentiel : des cerises au kirsch. Un bol en était encore à moitié plein.
Le blaireau les mangea toutes et tomba lourdement de la table.
Il ne se rappelait plus de rien et crut qu'il était un ours. Il se mit debout sur ses pattes arrières, et, en titubant comme un boxeur proche du KO, il arriva jusqu'à la porte d'entrée du labo, que personne n'avait songé à fermer à clé.
A force d'agiter ses pattes, le blaireau appuya suffisamment sur la poignée pour entrouvrir la porte.
La liberté était devant lui : même s'il ne voyait plus rien à cause d'une épaisse brume alcoolique, un instinct de survie poussa le blaireau ivre à sortir, sans un regard pour son compagnon qui pleurait à chaudes larmes.
Ne sachant plus qui il était ni d'où il venait, notre bon blaireau ne savait
pas où aller. Il se traîna ainsi, se cognant aux arbres, urinant tous les 10 mètres, jusqu'à une route nationale où, épuisé et malade, il s'allongea.
La suite, c'est la police de Goslar qui vous l'a racontée.

Voila tout est dit...

Ha c'est bien tu as corrigé ta fautes d'orthographe
Parce que ce matin, y avait qu'un "L" à Allemagne!! mouhaha

merci baboune pour ce quart d'heure culturel!

on en apprend des choses ici!